Support d’accrochage du paramoteur sur la voiture


Voici une méthode pour se fabriquer son support de paramoteur pour l’accrocher à l’arrière de la voiture.
Voici une méthode pour se fabriquer son support de paramoteur pour l’accrocher à l’arrière de la voiture.  Pour ceux qui n’ont pas de camion ou fourgon, ceci évite de démonter le paramoteur à chaque fois, avec le temps perdu, l’effort, et le risque d’usure que cela implique.   Ce montage fonctionne sur des voitures à hayon et ne demande pas de boule d’attelage.  Le support est fait à partir d’un porte-vélos de hayon et un diable.
Pour ceux qui n’ont pas de camion ou fourgon, ceci évite de démonter le paramoteur à chaque fois, avec le temps perdu, l’effort, et le risque d’usure que cela implique.

Ce montage fonctionne sur des voitures à hayon et ne demande pas de boule d’attelage.

Le porte-vélos

Le support que je me suis créé est fait à partir d’un porte-vélos de hayon, qui n’est pas modifié et qui reste parfaitement utilisable pour accrocher des vélos en dehors des journées de paramoteur.
Voici une méthode pour se fabriquer son support de paramoteur pour l’accrocher à l’arrière de la voiture.  Pour ceux qui n’ont pas de camion ou fourgon, ceci évite de démonter le paramoteur à chaque fois, avec le temps perdu, l’effort, et le risque d’usure que cela implique.   Ce montage fonctionne sur des voitures à hayon et ne demande pas de boule d’attelage.  Le support est fait à partir d’un porte-vélos de hayon et un diable.

J’ai acheté ce support dans un vide-grenier pour pas grand-chose, mais on les trouve dans n’importe quel magasin de sport ou de pièces auto pour environ 60€.

Le diable

Le support proprement dit pour le paramoteur est constitué d’un diable du commerce. Dans mon cas, j’ai utilisé un diable qui trainait dans le garage.
Voici une méthode pour se fabriquer son support de paramoteur pour l’accrocher à l’arrière de la voiture.  Pour ceux qui n’ont pas de camion ou fourgon, ceci évite de démonter le paramoteur à chaque fois, avec le temps perdu, l’effort, et le risque d’usure que cela implique.   Ce montage fonctionne sur des voitures à hayon et ne demande pas de boule d’attelage.  Le support est fait à partir d’un porte-vélos de hayon et un diable.

Sur la plate-forme j’ai fixé une plaque de mélaminé, découpée à la bonne taille pour recevoir le bas du paramoteur. Dans mon cas, c’était une chute qui trainait dans le garage d’un de mes rangements de placard.

La plaque est fixée aux tubes du diable par des boulons en U. Dessus j’ai vissé des cales en bois pour bloquer latéralement le bas du paramoteur.

Le diable est accroché au porte-vélos par des sangles. Au tout début j’utilisais des sangles réglables, mais une fois la bonne longueur trouvée, je les ai cousues sous forme d’anneaux.

Accrochage et sécurisation

Le paramoteur reste posé sur la plateforme du diable. Un morceau de mousse d’un ancien matelas protège le paramoteur d’un contact direct avec les tubes du diable.

Il est sécurisé avec des sangles à cliquets. Dans mon cas, le fait d’avoir des barres longitudinales sur la voiture me facilite un peu la vie. Dans l’absence, les sangles peuvent éventuellement passer à l’intérieur de la voiture, faire le tour du hayon, ou bien faire juste le tour du porte-vélos.
Voici une méthode pour se fabriquer son support de paramoteur pour l’accrocher à l’arrière de la voiture.  Pour ceux qui n’ont pas de camion ou fourgon, ceci évite de démonter le paramoteur à chaque fois, avec le temps perdu, l’effort, et le risque d’usure que cela implique.   Ce montage fonctionne sur des voitures à hayon et ne demande pas de boule d’attelage.  Le support est fait à partir d’un porte-vélos de hayon et un diable.

Dans mon cas, le bas du paramoteur couvre ma plaque d’immatriculation, donc j’ai refait une troisième plaque, que j’ai collée sur un panneau en plastique, que j’accroche avec des scratchs sur l’hélice, l’hélice étant fixée à l’horizontale.

La plaque d’immatriculation n’est pas rétroéclairée, mais je n’ai jamais eu de souci avec ce système. Je vois souvent des voitures qui circulent avec bien pire, style des plaques d’immatriculation en carton, ou rien du tout.

Conclusion

Je pense que chaque composant de ce système peut être adapté ou modifié selon les capacités ou les besoins de chacun. Pour moi, en tout cas, il marche sans problème depuis bientôt cinq ans. Il me permet de réduire mes temps de chargement ou déchargement du matériel dans la voiture à environ 10-15minutes.

Bon courage et bons vols !

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